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PHILOSOPHIE

valeurs

Louise Quintana est paysagiste conceptrice diplômée de l’École Nationale Supérieure de Paysage de Versailles. Passionnée par le vivant et sensible à l’approche artistique, elle s’est dirigée tout naturellement vers le métier de paysagiste qui conjugue son goût pour la biodiversité et la pratique du dessin. Son travail repose sur 4 grandes valeurs : concevoir, mettre en cohérence, révéler, repenser
Louise Quintana est paysagiste conceptrice diplômée de l’École Nationale Supérieure de Paysage de Versailles. Passionnée par le vivant et sensible à l’approche artistique, elle s’est dirigée tout naturellement vers le métier de paysagiste qui conjugue son goût pour la biodiversité et la pratique du dessin. Son travail repose sur 4 grandes valeurs : concevoir, mettre en cohérence, révéler, repenser

CONCEVOIR
DES PROJETS DURABLES

EMPRUNTS D’UNE FORTE
CONSCIENCE ÉCOLOGIQUE

Les questions de durabilité dimensionnent et qualifient le travail de Louise Quintana. La paysagiste contribue par cette conception à mettre en place un environnement durable où le vivant et le paysage ont une vraie place dans le développement urbain et agricole.

Œuvrer en responsabilité, accompagner les mutations, mettre en place une démarche pédagogique, réfléchir à la récupération et au recyclage de matériaux, ne pas préempter les ressources, ou encore utiliser des matériaux biosourcés, toutes ses approches inscrivent les projets de Louise Quintana dans le temps long et dans une conscience écologique, nécessaire à la préservation et à la valorisation des territoires.

Elle cherche à travers son travail à respecter ou restaurer si besoin, le cadre environnemental tout en s’inscrivant dans une économie durable. Des procédés tels que la désimperméabilisation des sols, la gestion des eaux pluviales, la création d’îlots de fraîcheur, la gestion différenciée ou encore la création de palettes végétales peu aquavores permettent de répondre à cette double attente.

METTRE EN COHÉRENCE
LA PLACE DU SITE

DANS SA GÉOGRAPHIE

“S’adapter à la géographie du site permet de faire entrer en résonance le paysage local avec celui du grand paysage, de l’horizon.”

Pour Louise Quintana, le site de projet est toujours étudié dans le contexte paysager dans lequel il s’inscrit.

Elle envisage l’analyse du site dans toutes ses échelles : territoire (socle géologique, topographie), ville, quartier et celle du site lui-même. Ce travail permet au projet de révéler son identité paysagère.

RÉVÉLER
LE « GENUS LOCI »

Louise Quintana est très attachée à la diversité et à l’imbrication des cultures et des paysages. Son but : prendre en compte la place de l’Homme dans son territoire avec ses pratiques sociales et culturelles. Cette mosaïque de lieux, d’histoires et de savoirs faire est le terreau de son travail.

Révéler le « genus loci », s’appuyer sur les forces vives locales tout en intégrant des techniques innovantes sont les mots d’ordre de sa vision du projet paysager. Un projet humaniste qui respecte l’écosystème et évite une banalisation et une standardisation de nos paysages.

REPENSER
LA PLACE DE L’HOMME

DANS SES PAYSAGES

Nous sommes à un moment charnière en termes de réflexion environnementale, sociale et économique. Les architectes, urbanistes et paysagistes ont une responsabilité grandissante dans la création des espaces de vie et dans l’évolution de nos usages et circulations en particulier en milieu urbain.

Dans ces espaces, l’homme a sa place au même titre que l’oiseau, le papillon, l’arbre, la rivière, la colline… il ne s’agit pas de l’exclure pour protéger la biodiversité, mais de travailler à une symbiose nouvelle plus respectueuse. Ainsi on peut redonner une place juste et raisonnée à l’Homme dans les espaces de vie. Par exemple grâce à la conception de bâtiments en lien avec le paysage (toiture végétale, deuxième peau) ou encore par la création de circulations humaines (pistes cyclables, routes) qui tiennent compte de celles de la faune (corridors écologiques).

Pour Louise Quintana, le projet paysager et urbain doit amener à repenser nos modes de vie en accord avec l’environnement. Pour continuer à jouer, courir déambuler, découvrir, bref vivre et nous épanouir, nous devons être des acteurs responsables au sein de notre écosystème.

CONCEVOIR
DES PROJETS DURABLES

EMPRUNTS D’UNE FORTE
CONSCIENCE ÉCOLOGIQUE

Les questions de durabilité dimensionnent et qualifient le travail de Louise Quintana. La paysagiste contribue par cette conception à mettre en place un environnement durable où le vivant et le paysage ont une vraie place dans le développement urbain et agricole.

Œuvrer en responsabilité, accompagner les mutations, mettre en place une démarche pédagogique, réfléchir à la récupération et au recyclage de matériaux, ne pas préempter les ressources, ou encore utiliser des matériaux biosourcés, toutes ses approches inscrivent les projets de Louise Quintana dans le temps long et dans une conscience écologique, nécessaire à la préservation et à la valorisation des territoires.

Elle cherche à travers son travail à respecter ou restaurer si besoin, le cadre environnemental tout en s’inscrivant dans une économie durable. Des procédés tels que la désimperméabilisation des sols, la gestion des eaux pluviales, la création d’îlots de fraîcheur, la gestion différenciée ou encore la création de palettes végétales peu aquavores permettent de répondre à cette double attente.

METTRE EN COHÉRENCE
LA PLACE DU SITE

DANS SA GÉOGRAPHIE

“S’adapter à la géographie du site permet de faire entrer en résonance le paysage local avec celui du grand paysage, de l’horizon.”

Pour Louise Quintana, le site de projet est toujours étudié dans le contexte paysager dans lequel il s’inscrit.

Elle envisage l’analyse du site dans toutes ses échelles : territoire (socle géologique, topographie), ville, quartier et celle du site lui-même. Ce travail permet au projet de révéler son identité paysagère.

RÉVÉLER
LE « GENUS LOCI »

Louise Quintana est très attachée à la diversité et à l’imbrication des cultures et des paysages. Son but : prendre en compte la place de l’Homme dans son territoire avec ses pratiques sociales et culturelles. Cette mosaïque de lieux, d’histoires et de savoirs faire est le terreau de son travail.

Révéler le « genus loci », s’appuyer sur les forces vives locales tout en intégrant des techniques innovantes sont les mots d’ordre de sa vision du projet paysager. Un projet humaniste qui respecte l’écosystème et évite une banalisation et une standardisation de nos paysages.

REPENSER
LA PLACE DE L’HOMME

DANS SES PAYSAGES

Nous sommes à un moment charnière en termes de réflexion environnementale, sociale et économique. Les architectes, urbanistes et paysagistes ont une responsabilité grandissante dans la création des espaces de vie et dans l’évolution de nos usages et circulations en particulier en milieu urbain.

Dans ces espaces, l’homme a sa place au même titre que l’oiseau, le papillon, l’arbre, la rivière, la colline… il ne s’agit pas de l’exclure pour protéger la biodiversité, mais de travailler à une symbiose nouvelle plus respectueuse. Ainsi on peut redonner une place juste et raisonnée à l’Homme dans les espaces de vie. Par exemple grâce à la conception de bâtiments en lien avec le paysage (toiture végétale, deuxième peau) ou encore par la création de circulations humaines (pistes cyclables, routes) qui tiennent compte de celles de la faune (corridors écologiques).

Pour Louise Quintana, le projet paysager et urbain doit amener à repenser nos modes de vie en accord avec l’environnement. Pour continuer à jouer, courir déambuler, découvrir, bref vivre et nous épanouir, nous devons être des acteurs responsables au sein de notre écosystème.

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